Chapitre 7 - Pensées / Idées


La pensée participe de la forme du front temporel

Le continuum espace temps imprime continûment ses formes à notre corps comme une topologie dynamique. Sous ces assauts le circuit neuronal configure en temps réel ses circuits, ses formes, pour se rapprocher d’un niveau d’énergie minimum avec le milieu.

L’idée comme configuration de cristallisation

Les idées prennent forme en se cristallisant. La cristallisation de l’idée correspond à la forme de la configuration d’énergie minimale du circuit avec le milieu. De cette complexité organique vient la nécessité de l'organe cérébral. Le cerveau gère et stocke ces formes successives du circuit neuronal.

L’idée comme entropie minimale

La cristallisation de l’idée correspond à une configuration d’énergie minimale et donc à un désordre minimal d’où baisse d’entropie et restitution d’une énergie devenue excédentaire liée à un sentiment de plénitude, de vie et de joie profonde lorsque l’idée arrive.

Les rêves

Durant le sommeil l’organisme doit digérer et stocker l’ensemble des sensations et images affectives de la journée. La perception que nous avons des rêves correspond à la visualisation de cette logique de stockage des configurations neuronales. Cette logique est sans rapport avec notre logique de tous les jours, elle témoigne du niveau d’appréhension affective de la conscience de chaque personne.

Subjectivités, ou « A chacun sa vérité »

L’idée se met en place à partir d’un tissu personnalisé constitué du temps cumulé de chaque personne et du milieu extérieur. Cette idée qui correspond à la « Vérité » de la personne sera différente pour chaque personne et partant de chaque groupe de personnes formant culture du groupe.

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