La
pensée participe de la forme du front temporel
Le continuum espace
temps imprime continûment ses formes à notre
corps comme une topologie dynamique. Sous ces assauts
le circuit neuronal configure en temps réel ses
circuits, ses formes, pour se rapprocher d’un niveau
d’énergie minimum avec le milieu.
L’idée
comme configuration de cristallisation
Les idées
prennent forme en se cristallisant. La cristallisation
de l’idée correspond à la forme de
la configuration d’énergie minimale du circuit
avec le milieu. De cette complexité organique vient
la nécessité de l'organe cérébral.
Le cerveau gère et stocke ces formes successives
du circuit neuronal.
L’idée
comme entropie minimale
La cristallisation
de l’idée correspond à une configuration
d’énergie minimale et donc à un désordre
minimal d’où baisse d’entropie et restitution
d’une énergie devenue excédentaire
liée à un sentiment de plénitude,
de vie et de joie profonde lorsque l’idée
arrive.
Les rêves
Durant le sommeil
l’organisme doit digérer et stocker l’ensemble
des sensations et images affectives de la journée.
La perception que nous avons des rêves correspond
à la visualisation de cette logique de stockage
des configurations neuronales. Cette logique est sans
rapport avec notre logique de tous les jours, elle témoigne
du niveau d’appréhension affective de la
conscience de chaque personne.
Subjectivités,
ou « A chacun sa vérité »
L’idée
se met en place à partir d’un tissu personnalisé
constitué du temps cumulé de chaque personne
et du milieu extérieur. Cette idée qui correspond
à la « Vérité » de la
personne sera différente pour chaque personne et
partant de chaque groupe de personnes formant culture
du groupe.